Si le premier extrait, « Honeymoon », dévoilé il y a quelques semaines, n’a rien d’un tube, le morceau suivant est plus fédérateur, il devrait rallier les suffrages. Dans la même veine mélancolique que ses anciens succès, une marque de fabrique chez elle, la popstar américaine nous transporte dans son univers tout à la fois sombre, sensuel et enivrant.Toujours le même, diront ses détracteurs, mais le style colle parfaitement au personnage. C’est ce qui fait son charme et qui, d’ailleurs, la hisse au rang de diva. Une diva qui joue à merveille les femmes fatales.
Pour ce troisième disque dans sa carrière, Lana Del Rey s’est entourée de nombreux producteurs, dont Dan Auerbach, des Black Keys, Rick Nowels, présent sur son fameux premier album « Born To Die », ou encore Marc Ronson. Du beau monde, à ses côtés pour faire oublier le décevant « Ultraviolence ».
KKA/AllTheContent News Agency