Simian Ghost joue la carte de la pop rétro dans « The Veil »

Tous droits réservés - La pop alternative de Simian Ghost prend de l'ampleur dans "The Veil".


Fait rarissime, dès le premier album, Simian Ghost a captivé les critiques, un engouement unanime qui ne s’est jamais démenti, depuis. Et avec ce nouvel opus de 18 morceaux, la pop alternative de Simian Ghost a de quoi décoiffer, une pop naturaliste et réaliste qui mélange des arrangements électro à des enregistrements sonores du monde réel, un parcours expérimental audacieux et plutôt très bien réussi. Que ce soit dans « The Veil » ou « The River Ouse », le chant des oiseaux et le bruit des vagues apportent de la profondeur à des textes mélancoliques, presque féeriques. La langueur s’étire tout au long des 62 minutes que dure l’album; pas une faiblesse, les notes se complètent et l’atmosphère fantasmagorique de cette pop alternative s’enracine dans les esprits. Mention spéciale aux titres « Never Really Knew », « Endless Chord » et « A Million Shining Colours » qui supportent toute la beauté fragile de l’album. La fièvre scandi-pop saisit les membres, les mélodies gagnent leur part d’éternité. On aimerait ne jamais revenir de ce voyage en harmonie.


Tous droits réservés – La pop alternative de Simian Ghost prend de l’ampleur dans « The Veil ».


FGE/AllTheContent News Agency