Adam Young, alias Owl City, a la disco et l’électro européenne ancrées aux méninges, il ne peut s’empêcher de tripatouiller ses tables de mixage pour lancer des sons ludiques et frais. Les dix titres de ce nouvel opus n’ont rien à envier au titre phare de l’artiste, « Fireflies » (2009). On y retrouve la même énergie à déplacer des montagnes de pantins engourdis par les chaleurs estivales.
« Mobile Orchestra » débute sur « Verge » en duo avec Aloe Blacc, on embarque sans attendre pour une escapade électronique qui dure encore et encore, le temps que les notes redescendent. Mais le repos ne dure pas longtemps, Owl City remet un coup d’accélérateur avec « Thunderstruck » en duo avec Sarah Russell, puis avec « My Everything » et « Unbelievable » avec Hanson. Il faut avoir le cœur bien accroché, les morceaux sont aériens et retentissants. Le prophète du courant synthpop propage ses sonorités jusqu’à la dernière minute, « This Isn’t the End » en remet une couche pour les tout derniers instants. Une belle histoire qui n’est pas près de s’arrêter!
FGE/AllTheContent News Agency