L’hallucinante electro-pop de Jay-Jay Johanson sous « Opium »

Tous droits réservés - L'electro-pop de Jay-Jay Johanson vibre au son du jazz dans "Opium".


Membre d’un groupe punk à l’adolescence, Jay-Jay Johanson a grandi avec le jazz, puis s’est mis à penser pop. Son parcours musical est original, le glissement semble presque stratégique, mais pas du tout, l’artiste a juste trouvé un territoire d’expression plus acidulé et qui n’a rien de conformiste.

Avec « Opium », Jay-Jay Johanson accouche de 11 titres suaves, portés par des arrangements et des rythmiques electro et jazzy à ravir les premières nuits d’été. L’artiste suédois est un caméléon, il façonne une pop léchée, désarticulée par les soubresauts synthétiques des instruments qui se croisent et se faufilent dans tous les interstices.

Le titre « Moonshine » dépareille l’ensemble de relans rock séduisants, pendant que « I Don’t Know Much About Loving », « Scarecrow » et « Alone Too Long » s’appuient sur la voix éthérée de l’interprète et des textes délicatement ficelés autour de notes fragiles et mesurées. « Opium » souffle le temps de l’oubli et les douceurs de la nostalgie. Jay-Jay Johanson est, lui, le parfait conteur des rêves à venir.


Tous droits réservés – L’electro-pop de Jay-Jay Johanson vibre au son du jazz dans « Opium ».


FGE/AllTheContent News Agency