Chant nasal et guitares rugissantes, « Oceania » fait pratiquement pardonner l’horrible « Zeitgeist » (2007) que l’on croyait être le dernier clou dans le cercueil des Smashing Pumpkins.
De l’explosive « Quasar » en ouverture, aux plus posées « Pale Horse » et « Pinwheels », « Oceania » regorge de bonnes chansons. Mais surtout, Billy Corgan semble avoir compris que tant qu’à emprunter un nom de groupe, aussi bien mettre à contribution les musiciens qui l’entourent. Cette ouverture permet à Mike Byrne (batterie), Nicole Fiorentino (basse) et Jeff Schroeder (guitare) de concourir au succès renouvelé des Pumpkins.
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