"Evenfall": l’onirisme de Sébastien Schuller

credits:DR

Révélé en 2002 par son premier EP "Weeping Willow" puis confirmé en 2005 par son album "Happiness", Sébastien Schuller livre son second opus renfermant, à l’image de sa pochette, onirisme et mélancolie.

Pour le doux "Evenfall", le Français se détourne partiellement des sons électro au profit d’une acoustique remplie par les claviers et les rythmes de guitares lancinants ("The Border"). Amoureux depuis toujours de Radiohead, on retrouve ici encore leur influence ("Awaking"). A la manière des Anglais, Sébastien Schuller excelle dans la création d’ambiances ("New York", "High Green Grass", "Last Time"). Il compose d’ailleurs à ses heures des bandes originales de cinéma ("Un jour d’été", 2006).

Loin d’être ennuyeux, "Evenfall" contient aussi des chansons au tempo plus relevé comme "Open Organ" ou "Battle" qui élargissent encore l’univers du chanteur.

Site officiel de Sébastien Schuller

/ATCNA