Après une parenthèse avec MiNa, la chanteuse Jaël et le guitariste Luk se remettent en selle pour Lunik. Les Bernois sortent leur sixième album après douze ans d’existence – une longévité assez rare en Suisse. Comme d’habitude, la blonde Jaël tient le premier rôle sur la pochette de "Small Lights in the Dark", un disque mélancolique, une pop lorgnant sur l’Irlande.
Les influences celtiques, devenues un style, sont ici moins apparentes que sur les précédents titres de Lunik. Le rock irlandais féminin, façon The Corrs ou Sinéad O’Connor, se conserve comme dans "I Can’t Sleep" ou "Falling up". Le groupe relève maintenant ses compositions avec une touche de soul dans ses nombreuses ballades ("Born To Be Sad", "Everything Means Nothing").
Quant à la nostalgie qui habite Lunik, les titres des chansons l’expriment à eux seuls.Site officiel de lunik